1:54
DE YAN ENGLAND
CANADA | 2016 | 1H46
AVEC ANTOINE-OLIVIER PILON, SOPHIE NÉLISSE, DAVID BOUTIN

AVANT-PREMIÈRE

À 16 ans, Tim est un jeune homme timide, brillant, et doté d’un talent sportif naturel. Mais la pression qu’il subit le poussera jusque dans ses derniers retranchements, là où les limites humaines atteignent le point de non-retour.
Premier long métrage de Yan England, qui avait attiré l’attention avec son court métrage Henry, surprenant finaliste aux Oscars en 2013, 1:54 est un drame social traçant un portrait plus que sombre de l’intimidation en milieu scolaire.

« J’adore la jeunesse et j’ai le sentiment d’en être proche. J’ai été entraîneur de natation pour des groupes d’adolescents durant les vacances d’été. J’ai adoré leur montrer que leur performance ne dépend que d’eux, qu’ils sont les seuls à pouvoir se fixer des limites. Je voyais aussi comment les enseignants avaient du mal à communiquer avec certains ados. Des parents ne comprennent pas pourquoi soudain leur gamin de seize
ans pète un plomb et ils n’arrivent pas à savoir davantage. 1:54, mon premier film, est le portrait d’un garçon qui subit beaucoup de pressions, qui croit qu’en se faisant oublier, en s’effaçant, ça va calmer les choses, puis il se révolte et décide qu’il veut s’imposer. La course, c’est son tremplin, et sa planche de salut. »
Yan England, réalisateur
Note d’intention du dossier de presse

SÉANCES : MARDI 14 MARS - 9H30